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Hôtellerie et Tourisme
alternatif
La raison d’être de nos hôtels s’inscrit dans la dynamique du développement touristique durable à Madagascar, associée à la démarche novatrice de l’esprit Relais.
Le cadre hôtelier recèle des opportunités d’économie participative avec les acteurs locaux et de métiers formateurs pour les jeunes malgaches en quête d’un devenir.
Il nous permet de soutenir progressivement l’éco-responsabilité et de concilier patiemment la contribution du touriste avec les ressources et valeurs malgaches, par des échanges équitables.
C’est donc pour nous un engagement majeur que d’offrir un tel cadre relié à toutes les autres activités du Relais, de telle manière à favoriser un sens solidaire entre différents corps de métier.
Le MORINGA HÔTEL,
TULÉAR
Le MORINGA a ouvert ses portes en septembre 2013 sur un complexe architectural original, tout fait d’arches et de pierres, à l’ambiance lumineuse et à double étage desservi par un spacieux escalier en colimaçon menant aux chambres et au restaurant.
Le MORINGA a été baptisé ainsi, en l’honneur des arbres du même nom que l’on trouve à ses pieds, ombrageant agréablement la terrasse de son salon de thé donnant pignon sur rue.

Ses prestations :
– 28 chambres dont une suite et une familiale, toutes dotées d’un coffre-fort, d’un mini-bar, d’un TV, du WIFI, d’un climatiseur, de sanitaires et balcon privés
– 1 restaurant/bar
– 1 salon de thé
– 1 espace Internet

L'HÔTEL THERMAL
DE RANOMAFANA

Les structures architecturales (3 bâtiments), bien que modernisées, ont pour origine l’ancien établissement touristique du même nom qui à l’époque et jusque dans les années 70, était activement réputé pour son accueil. Ce nouveau complexe est conçu pour offrir un oasis de repos et d’escale serein, à la découverte de trésors humains et environnementaux destinés à être mis en valeur.

Il propose :
– 21 chambres confortables dotées de mini-bar, d’un coffre et de sanitaires privés, du WIFI
– 1 restaurant gastronomique au rez-de-chaussée du bâtiment principal
– 1 bar convivial à l’étage du bâtiment principal
– 1 espace Internet dans le hall
– 1 village bien-être avec bassins d’eau de source, salle de massage, salle de sport, coins détente
– Facilités chauffeur (Repas et hébergement)
– Jardin
– Parking privé

Photo de Hery Zo

Hery Zo

Designer et directeur créatif

Je m’appelle Razafindrazaka Hery Zo Ramamonjy, j’ai 24 ans et je suis co-fondateur, designer et directeur créatif chez Afo.
J’ai cocréé Afo en 2017 avec Mahefinilanto Voary Mendrika, qui est aujourd’hui notre responsable de production et logistique.
En 2019, nous avons déposé notre marque sans idées précises de ce que l’on voulait en faire, avant de se lancer « officiellement » en 2020 et formaliser notre petite entreprise en 2021.
La période entre 2017 et 2020 était essentiellement constituée d’apprentissage, d’auto-formation et de constitution d’un fonds de départ pour notre projet par nos propres moyens.
Nous n’avions pas forcément une expérience ultrasolide dans le secteur de l’habillement, ni même les « relations clés » et encore moins les moyens financiers suffisants et nécessaires mais nous nous sommes laissés guidés par la passion et par notre vision (et oui, c’est cliché mais c’est la réalité).
Nous étions particulièrement intrigués par la quasi-inexistence de marques locales auxquelles nous aurions pu nous identifier. En effet, à chaque fois que l’on se mettait à penser à une marque qui nous inspirait, des marques comme Nike, Adidas, Puma, … venaient très facilement et très vite à l’esprit.
On a commencé à se pencher sur le pourquoi de tout ça. Qu’est-ce qui faisait la singularité d’une marque ? Qu’est-ce qui était différent dans la démarche des grosses multinationales ? Les
préférences sur le design, le logo, le nom et le produit en lui-même semblaient subjectifs et rarement réellement fondées car il y avait cette autre chose que l’on avait du mal à définir qui influençait nos choix.
Après longue réflexion, nous en sommes arrivés à la conclusion que, tout simplement, le marché local a une forte préférence pour les grandes marques multinationales car celles-ci ont su asseoir une
réelle culture à l’échelle mondiale ces 30 dernières années afin de faire vendre leurs produits quand les acteurs locaux cherchent juste à vendre pour vendre, en surfant d’un buzz à un autre au
détriment d’une stratégie de marque à long-terme. Peut-être, avons-nous torts de penser ainsi ?
Cela importait peu car on était convaincus d’une chose : on voulait tout sauf ça. On voulait exprimer notre créativité, créer notre propre culture et la partager afin de changer les perceptions péjoratives du « Vita Gasy ». On voulait apporter de la valeur, bâtir des fondations solides pour la marque et exploiter ce qu’il y avait de plus profond dans la créativité et le savoir-faire Malagasy, quitte à tomber plusieurs fois car on s’en relèverait de toute manière.

Afo est la rencontre entre nos idées les plus complexes et nos idées les plus simples : sur le court-terme on est sur une course contre la montre, à enchaîner action après action ; mais sur le long-terme on était patients.

Voilà les raisons derrière notre devise, « Create to inspire ».